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Samedi (29/03/08)
Tais-moi mon coeur
--> Dionysos
=> Comment c'est possible des paroles qui me ressemblent tellement ? O_o"
Pour moi c'est l'heure de foutre à la poubelle
Mon cœur en bois et pour de bon,
C'est le crane serti d'étincelles
Que je viens donner ma démission.

Allez les oiseaux de mon corps,
Fermez vos belles gueules à passion
Les accidents d'amour à la pelle
Ne m'ont pas toujours donné raison


Refrain :
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Moi j’connais seulement celui qui s’emballe


Je me fabrique un cœur de pierre
Pour devenir un grand garçon
Celui dont tu serais fier
Et pourrais tenir une maison

Mais un beau jour comme ca tu te leve
Avec une idée à la con
Fouiller souvenirs et les rêves
Dans la poubelle à passion

J’ai des fissures
Dans mes chaussures
C’est à coups sur
Mon cœur de pierre
Qui me fait des tremblements de terre
Tais-toi mon cœur

Tais-toi mon cœur, mon cœur c’est toi
Je croyais que tu t’été tué et elle
Ne se souviendras pas de toi
D’ailleurs c’est pas la peine
De se briser comme ca
Tu vas encore lui faire peur

Refrain :
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Moi j’connais seulement celui qui s’emballe
La morale étant quand même que le coeur a beau faire mal à mourir, le faire taire nous faire devenur inhumain et finalement il vaut mieux qu'il fasse mal mais puisse battre encore et encore que de la faire taire à jamais.
Ecrit par Shizoni, à 21:19 dans la rubrique Chansons.
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Dimanche (10/09/06)
Ca aussi, c'est la France...
--> Titre inconnu - Les Ogres de Barback
Y'a Paris, la capitale, qui renifle son trou-de-balles,
Intra-muros c'est brillant, dehors c'est pour les paysans.
D'ailleurs s'il n'en restait qu'une, ce serait sûr'ment celle-là :
Qu'une aussi con que la lune et prétentieuse, comme il se doit.
Mais Paris, ça reste en France, les Français restent des Français,
Les chevilles en évidence, le nombril insatisfait !

À Rennes où il fait bon vivre, j'y ai vu - pardonnez-moi,
Des masses de foules ivres, des seringues plein les bras,
Un soir, une chose amusante, sur la route, croyez-moi :
La police qui plaisante d'un cadavre sur le toit.
Mais Rennes, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des reins en convalescence, des poumons dans le regret.

Puis y'a Bordeaux la bourgeoise avec son grand cru classé
Que l'on déguste dans l'extase, dans les grands lieux new-yorkais
Qui indique à sa mémoire ce qui est bon, ce qui est mauvais :
Si pour Papon, c'est un trou noir, le Girondin c'est un succès.
Mais Bordeaux, ça reste en France, les Français restent des Français
Des trouillards de gauche en transe ou des cons de droite muets.



À Toulouse, la ville rose, peut-être sont-ils un peu chauvins ?
Quand ils jacassent pas du rose, ils te parlent des Toulousains,
Ils ont un patois bien sûr, qu'ils utilisent parfois,
Pour écrire sur les murs d'une usine : "Plus jamais ça".
Mais Toulouse, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des canards qui l'été dansent sur des rythmes "afro-laid".

Puis il y a Marseille, celle qui a son port si charmant,
Sa Méditerranée belle, sa sardine et ses harengs.
Comme un tout petit village, un hameau ensoleillé,
Qui n'a qu'un désavantage : d'être rempli de Marseillais !
Mais Marseille, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des grandes gueules à qui l'on pense, quand on veut avoir la paix.

Entre le Rhône et la Saône, il y a Lyon et ses reflets.
En banlieue, il y a sa zone, ses odeurs et ses rejets.
Sa gastronomie connue, qui veut nous faire oublier
Pour ne pas être déçus, tous ces scandales financiers.
Mais Lyon, ça reste en France, les Français restent des Français.
Des bonnes bouffes en concurrence, des non-dits sur le palais.

Lorsque j'ai connu Strasbourg pour la toute première fois
Je pensais trouver l'amour dans les rues de celle-là
Mais il y eut soudain un doute dans cette ville un peu cruche
Où l'on me parlait de choucroute, d'Europe et de flamenkuche
Mais Strasbourg, ça reste en France, les Français restent des Français
L'égalité en free-lance, l'humanité qui s'essaie.

Il y a Lille dans le nord comme il y a le nord en Lille
Des grands hommes gras et forts ou des consanguins débiles
Les grands projets planétaires qui dépensent sans se soucier
À deux pas de la misère des petits enfants minés
Mais Lille, ça reste en France, les Français restent des Français
Des terrils d'arrogance, l'inégalité au sommet.

Après cet air géographe, une petite explication
Je ne cherche pas les baffes, je ne cherche pas la baston
Mais lorsque je vois au loin qui agitent leurs drapeaux
La grande race des chauvins, juste à côté des fachos,

Ben, moi qui suis né en France dans un bled incognito
Je ne comprends pas la démence, je ne vois pas les idéaux
De ceux qui pensent la naissance, comme une attache, un ghetto
Pardonnez-moi cette offense et traduisez en ces mots :

Issu de la poussière, je m'en retourne à la poussière
Issu de la planète terre, je m'y promène sans frontière !
Issu de la poussière, on s'en retourne à la poussière
Issu de la planète terre, on s'y promène sans frontière !
Ecrit par Shizoni, à 10:33 dans la rubrique Chansons.
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~ ~ Par Amour ~ ~
--> Diam's

Poupée, avec l'amour t'as pris la poudre d'escampette
T'as désiré le coup d' foudre t'as dit bonjour à la tempête,
Poupée, t'étais cette fille au pays des merveilles
Tu lui as ouvert ton c.ur plutôt que de t'ouvrir les veines, je sais
T'as vu en lui que ce que seule toi pouvais comprendre
T'étais petite, il était grand, il était tendre,
Je sais, et puis pourquoi se justifier l'amour ne s'explique pas,
Ni même le sang qu'on retrouvera chez toi...

{Refrain:}
Par amour, par amour, par amour, c'est tout ce que t'as su dire
Par amour par amour par amour, rien n'est impossible
Par amour, par amour, par amour, c'est tout ce que t'as su dire
Par amour...

Poupée, t'as débarqué seule sur un quai de gare,
Tu venais d'ici, de là-bas et t'allais nulle part
Poupée, t'avais de grands yeux bleus mais cernés de noir
C'était peut-être la raison de ton départ, qui sait ?
Lui il a vu que t'étais frêle, que t'étais vraiment dans la merde
Il t'a dis "T'es trop belle vient, je t'emmène poupée"
A cet instant c'est devenu ton mentor
Il avait tort les gens, l'espoir existe encore tu sais,
Ton innocence lui a transpercé le c.ur
Tu étais son évidence, il était ton âme s.ur, je sais
Rien ni personne ne peut juger les gens qui s'aiment,
Ni leurs désirs, ni même la folie qui les traînent, Poupée
Elle était loin cette solitude dans le wagon
Prison dorée, t'as pris perpette dans son lagon
Poupée¨, chez lui c'était le paradis sur terre,
T'as même retrouvé le sourire brûlé dans une petite cuillère...

{au Refrain}

Poupée tu n' voulais pas laisser le temps te démolir
T'avais retrouvé le sourire t'étais redevenue solide je sais
Vous étiez deux enfants perdus à l'abandon
Vous êtes devenus deux amoureux contre le monde, poupée
Petite sirène tu nageais dans l'ambulance
Déambulant parmi les gens, rêvant d'une vie beaucoup moins chiante
Je sais, T'avais grandi avec lui et tu mourrais avec lui
C'était le seul à t'avoir redonné la vie
Poupée, ton visage avait retrouvé sa lumière
Petite fille sage deviendra-t-elle une meurtrière, qui sait ?
Pour ses beaux yeux plus rien n'était impossible
C'était l'amour du vice, l'amour du risque
Poupée, tous les matins il se levait aux aurores
Il te disait "Ma fée, je m'en vais juste nous chercher de l'or,
Tu sais. Le monde s'acharne à faire de nous des incapables,
Regarde-moi, tu es ma femme, je ferai tout pour qu'on se barre"...

{au Refrain}

Poupée, tu étais devenu sa seule héroïne
Vous alliez vous en sortir, sans égoïsme, je sais
L'un pour l'autre vous disiez adieu à l'enfer,
Adieu aux rêves éphémères qui coulaient dans vos veines, Poupée
Bientôt la vie sans poison ni artifices
De l'amour, de l'eau fraîche, et des rires sans acide, je sais
Tu étais belle poupée, tu étais sienne,
Tu étais reine et belle et bien debout dans un monde qui crève
Poupée, il y a des choses que la vie n'explique pas
Il y a des êtres que la mort te prend et ne te rend pas,
Poupée, cette voiture, cette vitesse et ton homme sur le pare-brise,
Au volant une triste femme en crise tu sais
Elle aussi avait trouvé l'homme de sa vie,
Mais l'a retrouvé dans son lit avec sa meilleure amie, poupée
Dans sa voiture elle a cru pouvoir oublier,
Oublier de freiner et a fauché ton bien-aimé poupée
S'il te plait ne cède pas, relève toi
Tu le retrouveras, au paradis il t'attendra, poupée
Tout le monde sait que sans lui ce sera dur
Tu as perdu ton issue, le seul remède à tes blessures, poupée
S'il te plait ne fais pas ça par amour, arrête!
Pose cette arme, ne teste pas ta bravoure, poupée
Repense au lagon..., repense à vos rêves...
Pourquoi tiens-tu ce canon si proche de tes lèvres, poupée ?...


Ecrit par Shizoni, à 10:19 dans la rubrique Chansons.
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- - - - -> Marine <- - - - -
--> Diam's
Marine,
Tu sais ce soir ça va mal,
J'ai trop de choses sur le coeur
Donc il faudrait que l'on parle,
Marine,
Si je m'adresse à toi ce soir
C'est que t'y es pour quelque chose,
T'as tout fait pour qu'ça foire.
Marine,
Dans le pays de Marianne,
Y'a l'amour,
Y'a la guerre,
Mais aussi le mariage.
Marine,
Pourquoi tu perpétues les traditions ?
Sais tu qu'on s'ra des millions à payer l'addition.
Ma haine est immense,
En ce soir de décembre.
Quand je pense à tous ces gens que tu rassembles.
Tu sais,
Moi j'suis comme toi,
J'veux qu'on m'écoute.
Et tout comme toi,
J'aimerais que les jeunes se serrent les coudes.
Marine,
T'as un prénom si tendre,
Un vrai prénom d'ange,
Mais dis-moi c'qui te prend.
Marine,
On ne sera jamais amies
Parce que ma mère est française
Mais qu'je ne suis pas née ici.
Marine,
Regarde-nous,
On est beau.
On vient des 4 coins du monde
Mais pour toi on est trop.
Ma haine est immense quand je pense à ton père.
Il prône la guerre quand nous voulons la paix.

{Refrain:}
Donc j'emmerde...
J'emmerde...
J'emmerde qui ?
Le Front National !
Moi j'emmerde...
(J'emmerde...), j'emmerde...
(J'emmerde...), j'emmerde qui ?
Le Front National.
Moi j'emmerde...
(J'emmerde...), j'emmerde...
(J'emmerde…), j'emmerde qui ?
Le Front National.

Marine,
Tu es victime des pensées de ton géniteur.
Génération 80 on a retrouvé notre fureur.
Marine,
T'avais l'honneur d'être proche de l'ennemi,
D'installer un climat paisible dans nos vies.
Mais Marine,
T'es forcément intelligente.
T'as pas songé à tous ces gens que t'engraines dans l'urgence,
Marine,
T'es mon aînée et pourtant je ne te respecte pas,
Il m'a fallu faire ce choix.
Marine,
Tu pouvais briser la chaîne,
Prendre la parole et nous rendre nos rêves.
Mais Marine,
T'as fait la même connerie que lui
Penser que le blanc ne se mélange pas à autrui.
Marine,
On ne s'ra jamais copine parce que je suis une métisse
Et que je traîne avec Ali.
Marine,
Plus j'te déteste, mieux je vais.
Et plus je proteste et moins nous payons les frais.

{au Refrain}

Marine,
Tu crois vraiment que t'es dans le vrai ?
Que t'as su saisir ta chance,
Et que ton avenir est tracé.
Marine,
Je ne suis pas de ceux qui prônent la haine,
Plutôt de ceux qui votent et qui espèrent que ça s'arrête.
T'as fais couler ce navire Marine,
J'ai peur du suicide collectif des amoureux en couleur.
Marine,
Pourquoi es-tu si pâle ?
Viens faire un tour chez nous c'est coloré, c'est jovial.
Marine,
J'aimerais tellement que tu m'entendes,
Je veux bien être un exemple quand il s'agit de vous descendre.
Marine,
Tu t'appelles Le Pen,
N'oublie jamais que tu es le problème
D'une jeunesse qui saigne.
Viens, viens,
Allons éteindre la flamme,
Ne sois pas de ces fous qui défendent le Diable.
Marine,
J'ai peur que dans quelques temps tu y arrives
Et que nous devions tous foutre le camps
Ecrit par Shizoni, à 10:16 dans la rubrique Chansons.
Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Lundi (19/06/06)
Un jour ou l'autre...(Debout sur le zinc)
--> Pour toi.. ;)

Un jour ou l’autre, ne plus repousser
Cesser de tourner sa langue, avant de parler
Renoncer à cet orgueil, qui cloue le bec
Et vous laisse si souvent seul

Passer de l’ombre à l’autre, sous le soleil
Laisser tomber la foudre sur les oreilles
Et ceux qui aimeraient bien, mais n’osent pas
N’osent jamais dire, oh, ce qu’ils pensent tout bas...


Tu me désarmes, tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant, mon ami
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami


A toi je le dis, j’espérais ce peu
Au jeu de la vie, gagner un peu mieux
Qu’une pomme empoisonnée, en robe de printemps
Dans laquelle le cœur affamé, croque à pleines dents

Et là c’est la vie qui s’en va, sans prévenir
Et toi qui ouvres les bras, pour la retenir
Le temps d’une averse, une seule fois versée
Le temps de mourir, renaître, et s’envoler

Tu me désarmes, tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant, mon ami
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami


A l’heure où la route au milieu du désert
Laisse apparaître enfin le paradis sur terre
A l’heure où la tête, sortie du brouillard
Se demande encore, quel était ce rêve bizarre

A l’heure où la nuit, décline et le jour,
Emmène au loin, les chagrins d’amour
A ton oreille, et au monde entier,
Je ne le renierai jamais assez...

Tu me désarmes, tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant, mon ami
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami...


Ecrit par Shizoni, à 15:03 dans la rubrique Chansons.
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Samedi (13/05/06)
Mes larmes sur ma manche
--> Debout sur le zinc
J'essuierai mes larmes sur ma manche
Réchaufferai dans mes mains tes mains blanches
Embrasserai encore l'espoir
Qui fait qu'on s'accroche à un soupir
Que pour un rien on s'échaffaude un avenir
Mais ceux qu'on aime
Ils partent

J'essuierai mes larmes sur ma manche
Ravalerai en moi l'avalanche
Je ne cèderai rien au chagrin
Qui souffle quand il n'y a rien à l'horizon
Qui pleure quand la vie nous fait faux bon
Qu'on s'en remet au hasard au hasard

Alors ça y est
C'est déjà demain
C'est maintenant
Que l'on se souvient
Un peu trop fort
Un peu trop bien

J'essuierai mes larmes sur ma manche
Avalerai chaque fois les avalanches
Je ne cèderai rien au chagrin

J'essuierai mes larmes sur ma manche
 

Ecrit par Shizoni, à 21:02 dans la rubrique Chansons.
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La déclaration
--> Debout sur le zinc

J'aurais pu l'écrire pour toi celle là...

C'est un peu une déclaration
Que je te fais car il est temps je crois
Quand certains rêvent de nation, de football ou de vrais combats
Moi c'est vers toi que je tend les bras quand ça ne va pas
Ma cervelle et mes sentiments
Je te les donne ils sont pour toi
Le reste on en reparlera

Refrain:
Pour vivre avec toi
Tu es mon chez moi
Mon premier et mon second choix
Mon rêve d'absolu qui ne tarit pas

Je te dois mes premiers frissons et mes premiers coups sur les doigts
Mais pour un mot ou une chanson
J'aurais donner n'importe quoi
Malgré tous mes démons
Les menottes que j'ai aux bras
Si je te quitte pour de bon
Le lendemain je cours vers toi
Le reste on en reparlera

Refrain: x2
Pour vivre avec toi
Tu es mon chez moi
Mon premier et mon second choix
Mon rêve d'absolu qui ne tarit pas

C'est un peu une déclaration
Même si je sais que tu n'es pas
Le remède ni la solution
Tu n'es qu'une attelle a mon bras
Ce petit rien qui nous lie aux autres
Quand ça ne va pas
Un ultime language de survie qui remet le monde à l'endroit
Le reste on en reparlera

Refrain:
Pour vivre avec toi
Tu es mon chez moi
Mon premier et mon second choix
Mon rêve d'absolu qui ne tarit pas

Ecrit par Shizoni, à 20:56 dans la rubrique Chansons.
Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Mardi (01/11/05)
Fils de France
--> De Saez
J'ai vu, les larmes aux yeux, et les nouvelles ce matin
20% pour l'horreur, 20% pour la peur.
Ivre d'inconscience, tous Fils de France.
Au pays des lumières, amnésie suicidaire.
Non Non Non Non.

Nous sommes, nous sommes
La Nation des Droits de l'Homme.
Nous sommes, nous sommes
La Nation de la Tolérance.
Nous sommes, nous sommes
La Nation des Lumières.
Nous sommes, nous sommes
à l'heure de la Résistance.

Pour les rêves qu'on a fait, et pour ceux qu'on fera.
Pour le poing qu'on a levé, pour celui qu'on lèvera.
Pour un idéal, pour une utopie.
Allons marchons ensemble enfants de la Patrie.

Fils de France !
ça, pour baisser la tête,Ah oui, ça t'aime bien les minutes de silence
Fils de France !
C'était à peine hier, et déjà tu brandis le drapeau de l'ignorance
Fils de France !
Nous n'oublierons jamais que nous sommes et seront les fils de la Résistance.
Fils de France !
Au royaume des aveugles tu sais bien ce qu'on dit les borgnes sont les rois.

Y a ces ombres derrière nous, y a ces idées vendues,
y a ces drapeaux qui flottent et des hymnes dessus,
et puis y a toi mon frère, Oui toi qui n'y croit plus
et puis y a nos prières et nos causes perdues.

Honte a notre pays, honte à notre Patrie,
Honte à nous la jeunesse, honte à la tyrannie,
Honte à notre pays, revoilà l'ennemi,
Allons marchons ensemble enfants de la Patrie.

Nous sommes, nous sommes
La Nation des Droits de l'Homme.
Nous sommes, nous sommes
La Nation de la Tolerance.
Nous sommes, nous sommes
La Nation des Lumières.
Nous sommes, nous sommes
à l'heure de la Résistance.

Nous sommes, nous sommes
La Nation des Droits de l'Homme.
Nous sommes, nous sommes
La Nation de la Différence.
Nous sommes, nous sommes
La Nation des Lumières.
Nous sommes, nous sommes
à l'heure de la Résistance

Ecrit par Shizoni, à 13:27 dans la rubrique Chansons.
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Simple d'Esprit
--> De Sinsemilia

Heureux les simples d'esprit
2000 ans que c'est écrit
Aujourd'hui j'ai compris
Heureux les simples d'esprit
Oh oui, aujourd'hui j'ai compris
[x2]

Heureux celui qui
Ne comprends pas ce qui s'passe
Qui ne voit pas s'accumuler la crasse
Ici-bas où nos rêves se fracassent
Maudite cette lucidité
Qui chaque jour prend leurs places
Qui fait que la résignation
Peu à peu nous enlace
Que nos sourires chaque jour
Se transforment en grimaces
Que grandissent nos angoisses

Heureux les simples d'esprit
2000 ans que c'est écrit
Aujourd'hui j'ai compris
Heureux les simples d'esprit
Oh oui, aujourd'hui j'ai compris

Ouvrir les yeux
J'aurai pas dû
J'ai pas supporté ce que j'ai vu
Eblouie l'innocence
Enterrer l'insouscience
De mon enfance
Aveugler à jamais les espoirs
Pour mon adolescence
Cette souffrance
Ca s'appelle prendre conscience

Heureux les simples d'esprit
2000 ans que c'est écrit
Aujourd'hui j'ai compris
Heureux les simples d'esprit
Oh oui, aujourd'hui j'ai compris

Eblouie l'innocence

Heureux les simples d'esprit
2000 ans que c'est écrit
Aujourd'hui j'ai compris
Heureux les simples d'esprit
Oh oui, aujourd'hui j'ai compris

Ecrit par Shizoni, à 13:21 dans la rubrique Chansons.
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Mardi (02/08/05)
Petite Marie
--> En plus d'être belle, elle m'a fait penser à quelque chose cette chanson...

PETITE MARIE
Francis Cabrel

Petite Marie, je parle de toi
Parce qu'avec ta petite voix,
Tes petites manies,
Tu as versé sur ma vie
Des milliers de roses.

Petite furie, je me bats pour toi,
Pour que dans dix mille ans de ça
Se retrouve à l'abri,
Sous un ciel aussi joli
Que des milliers de roses.

Je viens du ciel
Et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi,
D'un musicien
Qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois,
De leur amour
Plus bleu que le ciel autour
.

Petite Marie, je t'attends transi
Sous une tuile de ton toit.
Le vent dans la nuit froide
Leur envoie de la ballade
Que j'avais ecrivais pour toi

Petite furie, tu dis que la vie
C'est une bague à chaque doigt.
Au soleil de Floride,
Moi mes poches sont vides,
Et mes yeux pleurent de froid.

Je viens du ciel
Et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi,
D'un musicien
Qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois,
De leur amour
Plus bleu que le ciel autour.

Dans la pénombre de ta rue,
Petite Marie, m'entends-tu?
Je n'attends plus que toi pour partir...
Dans la pénombre de ta rue,
Petite Marie, m'entends-tu?
Je n'attends plus que toi pour partir...

Je viens du ciel
Et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi,
D'un musicien
Qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois,
De leur amour
Plus bleu que le ciel autour

Ecrit par Shizoni, à 04:35 dans la rubrique Chansons.
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